J’ai dû lire quelque part (certainement dans Rock’n’Folk) que Lenny Kravitz aurait déclaré :
It’s time to get hardcore.
(Il est temps de devenir radical)
Est-ce parce qu’il a coupé ses locks ?
Mais, au fait, que signifie être radical ?
J’ai dû lire quelque part (certainement dans Rock’n’Folk) que Lenny Kravitz aurait déclaré :
It’s time to get hardcore.
(Il est temps de devenir radical)
Est-ce parce qu’il a coupé ses locks ?
Mais, au fait, que signifie être radical ?
Je l’avoue, Nabilla m’a bien fait marrer. Mais comment peut-on décemment résister à cette séquence d’anthologie ?
Il y a chez la bimbo un mélange de naïveté et de sincérité qui vont droit au cœur : son outrance tellement sincère ; son appel tragique à la Apollo 13, « allô, j’sais pas, vous me recevez ? », accompagné d’un geste désespéré (essayer de téléphoner avec sa main, tout le monde sait que ça ne marche pas) ; son doute existentiel « t’es une fille, t’as pas de shampooing !!??!! », c’est comme si on avait remis en cause l’héliocentrisme, la théorie de la gravité et celle de l’évolution en même temps qu’on découvrait la physique quantique ; son analogie transcendantale « c’est comme si je te dis : t’es une fille, t’as pas de cheveux ». Cette conjugaison incroyable et inespérée contribue à faire de cette séquence un moment qui restera dans l’Histoire.
En tout cas, si Tom Hanks avait utilisé de tels arguments, sûr que Houston se serait autrement démené pour tirer du guêpier son équipe d’astronautes américains. D’ailleurs, je suis certain que le fait que l’émission ait eu lieu en Floride, près de Cap Canaveral, n’est pas un hasard. Les producteurs avaient cette ambition colossale de détrôner Neil Armstrong, près du lieu même qui servit de décollage à la fusée qui emmena le premier homme sur la lune :
C’est un petit pas pour l’homme, un pas de géant pour l’humanité.