Des cons qui osent tout et des imbéciles qui ne savent rien.
Le con a beau n’avoir aucun surmoi, cela ne l’excuse en rien de la pleine responsabilité de ses actes, car il est volontaire et actif dans sa démarche de tout oser. Il croit la plupart du temps en acquérir privilège, et pense aussi être capable de pouvoir tout surmonter. Il est sûr de lui, sûr de sa connerie en quelque sorte.
A l’inverse, l’imbécile ne sait rien et n’a rien compris. S’il peut lui arriver des déconvenues et déboires similaires à ceux du con, c’est à son corps défendant. Il est victime de sa maladresse et de ses limites cognitives, à « l’insu de son plein gré ».
Ainsi, le con n’a rien à voir avec l’imbécile. Mais méfions-nous tout de même, car on est toujours le con de quelqu’un d’autre, à son insu !